vendredi 8 avril 2011

Conclusion des créatrices!

En conclusion, nous n’avions jamais vécu l’expérience d’écrire notre propre blogue et cela nous a permis de nous enrichir et d’acquérir de nouvelles connaissances.  Il s’est avéré fort intéressant de pouvoir en apprendre d’avantages sur le commerce international de la mode. Nous avons pu découvrir que la mode ne tournait pas seulement qu’autour du mannequinat et des vêtements, mais pouvait également toucher à l’environnement, les réseaux sociaux, la musique et le cinéma. De plus, nous nous sommes sentis interpellés par quelques côtés sombres et cachés de la mode. En effet, nous avons découvert que derrière les passerelles des défilés se cachaient des jeunes femmes anorexiques et malheureuses dans leur peau. Heureusement, la mode peut aussi être très belle. Des créateurs des quatre coins du monde nous font part de leurs créations et les commercialisent à travers la planète afin que nous aillions la chance de porter des vêtements de différentes origines. Bref, la mode est une manière pour un pays de se faire connaître. En plus, saviez-vous que les pays peuvent s’influencer positivement entre eux?  Il est intéressant de constater qu’une loi adoptée dans un pays le sera pareillement dans un autre. Aussi, nous avons appris que la planification fait partie d’une étape importante de ce projet afin que l’on puisse avancer à un rythme constant lorsque nous faisons face à un travail d’envergure. En effet, sur le plan personnel, nous avons eu quelques complications lors de la publication de nos blogues. Il est donc important de les finaliser bien avant la date limite. Enfin, nous sommes fières de nous être impliquées à cent pour cent dans ce projet et de vous avoir fait part de nos diverses opinions. Nous espérons que vous avez apprécié chacun de nos articles.

Bien à vous,

Caroline & Vanessa

Le côté sombre du mannequinat


«Le 17 avril 2008

 La création d'un nouveau délit est entérinée par une nouvelle loi adoptée mardi. Le délit d’incitation à l'anorexie et à la maigreur excessive" est puni d'une peine d'emprisonnement de 2 ans et d'une amende de 30 000 euro.


L'anorexie touche 30 000 à 40 000 personnes en France. Dans 9 cas sur 10, les malades sont des jeunes femmes. Le taux de mortalité atteint près de 6%, voire même 20% si on se réfère à des études portant sur de plus longues périodes.


La loi relance le débat public autour d'une pathologie grave. Elle vise à responsabiliser les acteurs du monde de la mode, des magazines ou de la publicité. C'est à cette fin que la loi crée un délit "de publicité des moyens de parvenir à une maigreur excessive".


Si cette loi ne règle pas tout, elle pose la question de la responsabilité collective de notre société. C'est au moins son mérite.»


Cet article explique que le gouvernement français a enfin pris position contre l’anorexie en avril 2008 en instaurant une loi décourageant le comportement malsain qu’est l’anorexie. Ce fléau a dénombré plus d’une quarantaine de milliers de cas d’anorexie durant cette année. Malheureusement, la majorité des cas, soit 9 malades sur 10, sont des jeunes femmes. Pire encore, un taux de 6% a été attribué au décès d’anorexique. Mieux ne pas vous dire que le taux a plus que triplé sur des études à long terme. Cette loi vise non seulement les acteurs du monde de la mode, des magazines ou de la publicité Française, mais vise aussi à sensibiliser les pays voisins. Cet article vise donc à faire comprendre autant aux citoyens qu’au dirigeant de la mode qu’ils ont une responsabilité à contrer ce fléau.


La mode internationale a entraîné une propagation de cette maladie qu’est l’anorexie. Non seulement elle touche les mannequins du monde entier, mais les jeunes femmes qui veulent les ressembler aussi. Ce fléau a donc un effet négatif sur le monde de la mode, puisqu’elle entraîne une image négative de ce marché. Heureusement, plusieurs pays se soulèvent contre ce phénomène grandissant de l’anorexie en instaurant des lois, tout comme l’a fait la France. Le Québec a aussi fait partie des premiers pays a dénoncer et contrer ce problème.


Même si cet article date de 2008, nous avons trouvé pertinent de vous faire part de celle-ci. Ce n’est pas parce qu’elle date de quelques années que ce fléau a complètement disparue. Heureusement, beaucoup de pays comme les États-Unis, la France et le Canada se sont alliés pour faire comprendre que l’anorexie et le marché de la mode n’étaient plus synonymes. Nous croyons donc que cette mobilisation est la meilleure chose que ces pays auraient pu faire, puisqu’ils permettent de contrer cette maladie tout en redorant l’image du monde de la mode.

L’anorexie derrière les passerelles


Cette vidéo explique que la mannequin israélienne Bar Refaeli, la compagne de l’acteur Léonardo DiCaprio,  lutte contre le fléau de l’anorexie installé chez les mannequins. Ce combat contre l’anorexie a pour but de contrer ce phénomène installé à travers le monde. Elle se dit attristée de voir des mannequins de 15 ans pâle et tremblante de maigreur. Bref, elle se fait beaucoup de souci pour ses collègues mannequins, elle qui est en santé et aux formes généreuse.

Malheureusement, l’anorexie chez les mannequins n’est plus rare. En effet, la maigreur était et est encore l’objectif tant recherché de plusieurs mannequins qui tentent de percer dans le domaine ou qui sont présentement sur le marché. Plusieurs mannequins croient encore que la maigreur est synonyme de beauté. Encore pire, ce phénomène a su croître mondialement, puisque des mannequins internationales ont fait circuler le phénomène dans plusieurs pays. On peut donc retrouver des mannequins anorexiques provenant de différentes origines.

Nous croyons que cette soi-disant mode ne devrait plus être depuis plusieurs années. Il est atroce de croire que des jeunes adolescentes s’identifient encore à ces mannequins anorexiques et qu’elles veulent leur ressembler. La beauté, c’est une femme avec des courbes et au teint rosé et non un corps inerte squelettique aux couleurs blanches. Selon vous, quelle est la définition de beauté?

La mode cinématographique (Deuxième partie)


Saviez-vous que certains pays, tels que la Chine, ont certains quotas en ce qui a trait à la diffusion de films de pays étrangers. Et oui, la Chine ne permet la diffusion que de 20 films étrangers sur son territoire. Les Chinois aiment les films américains, surtout ceux familiaux et ceux qui semblent refléter la place centrale de la Chine dans le monde. Ainsi, les films acceptés de diffusion par la Chine sont pratiquement sûrs d’une grande notoriété, soit d’une grande audience, puisqu’ils auront réussi à franchir ce quota. Néanmoins, ce n’est pas parce qu’un film américain a un grand succès en Chine qu’il est nécessairement synonyme de grand profit. En effet, les distributeurs hollywoodiens ont seulement 15% comme quote-part des revenus au guichet. C’est très peu contrairement au 45-55% qu’ils ont aux États-Unis. Ainsi, les films américains auront bien sûr une grande notoriété grâce à l’exportation faite en Chine, mais il ne faut pas oublier le fait que le profit n’est peut-être pas aussi important qu’on ne l’aurait cru. La Chine est un pays qui veut protéger sa culture et c’est en installant un quota de diffusion de film étranger avec certains critères qu’elle permet de le faire.

Selon nous, c’est une bonne chose d’installer un quota afin de contrôler la concurrence étrangère, mais surtout pour prioriser la production locale. La Chine a donc bien fait d’installer ce quota, puisqu’elle permet un partage de culture étrangère tout en ayant le contrôle des entrées de films.

Croyez-vous que tous les pays devraient installer un quota de diffusion de films étrangers comme la Chine la fait ?

Source information : La Presse, 5 mars 2011
Source photo :
http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2010-01/2010-01-20/article_avatar_chine.jpg

La mode cinématographique (Première partie)


Dans cet article publié par La Presse, on y fait part du phénomène de la mondialisation de Hollywood. Dans tout phénomène de la mondialisation, il y aura bien sûr des effets positifs tout comme des effets négatifs. Pour ce qui est des phénomènes positifs, plusieurs films américains qui étaient pratiquement en déficit bénéficiaire aux États-Unis ont vu leur recette croître considérablement grâce à leur diffusion ailleurs dans le monde. Ce phénomène positif est entre autres attribuable à l’accueil positif de ces films dans des pays aux cultures étrangères. Ainsi, certains films américains qui sont, dans leur propre pays, presque en déficit deviennent rentables et génèrent d’importants profits grâce à la mondialisation.

De plus, on peut expliquer cet accroissement de notoriété des films américains, dans des pays étrangers, grâce à trois facteurs mentionnés dans l’article, soit : «l’essor du cinéma dans les pays émergents, l’effort concerté des grands studios pour produire des films qui seront bien accueillis à l’étranger et une mise en marché mondial visant à assurer leur succès.» Ainsi, ces effets positifs sont contrôlés par l’industrie cinématographique américaine, puisque c’est au studio de décider s’il veut entrer dans ce phénomène de mondialisation ou non en adaptant ces films au marché d’exportation. C’est au studio de décider s’il veut s’adapter aux marchés étrangers et ainsi, accroître ses recettes grâce à sa diffusion internationale.

Nous croyons que c’est une bonne alternative de penser au marché étranger lorsqu’un film n’a pas eu le succès désiré dans son pays. Néanmoins, il est risqué d’exporter le film puisqu’il pourrait tout aussi bien ne pas avoir de succès ailleurs. Il est donc important de calculer son arrivée sur un marché extérieur avant d’y tenter une entrée.

Source information: La Presse, 5 mars 2011
Source photo :
http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2010/09/D%C3%A9ficit.jpg

La musique face à la mondialisation


«La culture musicale américaine, qui va chercher ses racines dans ses débuts révolutionnaires, a survécu et  prospéré pour même dominer le marché mondial parfois même alors que certains aspects de sa culture étaient montrés du doigt par le reste du monde. Dans un sens, la musique a dépeint une image beaucoup plus juste des événements et émotions des Américains que n’importe quel autre aspect de la culture américaine.»

Comme l’explique cet article, la culture musicale américaine a réussi à prendre de l’ampleur au niveau du marché international. Cette expansion est positive, puisqu’elle a réussi à démontrer avec beaucoup plus de justesse les événements et émotions de ce pays. De plus, la musique américaine a même su prendre la première place en ce qui a trait à sa position sur le marché mondial.

Ce phénomène n’est pas seulement attribuable aux États-Unis, mais bel et bien à travers des pays du monde entier. En effet, un partage de culture musicale a su prendre de l’ampleur depuis plusieurs années. Une mode du partage de musique a su naître et ce phénomène a pris de l’expansion dans de nombreux pays externes, au pays de production d’origine des chansons. Si on prend le Québec en exemple, nous importons et aimons beaucoup de musique étrangère à notre pays. Nous pouvons donc dire que nous sommes une province réceptive au partage de culture musicale.

Selon nous, le partage de culture musicale est une très bonne chose. Elle nous permet une ouverture d’esprit beaucoup plus large sur la culture de pays étrangers et nous ouvre aux talents d’artistes du monde entier. Ainsi, ce phénomène nous permet d’être à l’affut des changements  et tendances du domaine musical et même, de découvrir de nouveau style.

À quel réseau social vous identifiez-vous ?


«Un réseau social est un ensemble d'identités sociales telles que des individus ou encore des organisations reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales
Au départ, les réseaux sociaux se sont principalement développés par la popularité occasionnée par l’utilisation accrue des individus. Néanmoins, ceux-ci ont connus un large accroissement d’utilisation par les entreprises dans la dernière année. Comme l’explique cet article, les réseaux sociaux créent un lien non seulement entre les individus, mais également entre les organisations et les individus. Il n’est plus rare de voir maintenant des entreprises à travers le monde afficher le logo Facebook sur leur site internet pour faciliter l’accès des individus grâce à l’aide de ce réseau sociale. Ainsi, peu importe le pays d’une entreprise, celles-ci peuvent maintenant se faire connaître par des consommateurs à travers le monde. Nous croyons que les entreprises ont bien fait de saisir cette opportunité d’entrer dans les réseaux sociaux, puisque ça leur permet une visibilité hors frontière. De plus, c’est une très bonne façon de promouvoir leurs produits ou leur service à faible coût. Les individus vont sur leurs réseaux sociaux à des fréquences immesurés, c’est donc une belle opportunité pour les entreprises de se faire voir et de tenir au courant leurs consommateurs sur les changements et leurs nouveautés.
Néanmoins, il n’y a pas que des points positifs aux réseaux sociaux pour les entreprises. En effet, ceux-ci permettent aux commerces internationaux de garder des liens avec leurs consommateurs et donc, s’il leur arrive des mauvais coups, ils seront au courant.
Nous croyons donc qu’il est bénéfique pour les entreprises d’entrer dans le mouvement des réseaux sociaux, mais ils doivent être stables avant de le faire. De plus, une personne devrait être à la charge du contrôle des éléments diffusés sur l’entreprise dans ces réseaux. Il est important pour les commerces de garder une bonne image s’ils veulent établir des liens de confiance envers des consommateurs de pays étrangers.

L’expansion des réseaux sociaux

«De plus en plus de gens ont maintenant accès aux mêmes réseaux d’informations et cela engendre [des] effets importants :
Le premier, repose sur le fait que l’individu a un accès à plusieurs sources d’informations qui lui permettent d’avoir une meilleure connaissance de l’environnement et des enjeux mondiaux. »
Comme le mentionne cet article, les réseaux sociaux permettent à l’individu, soit au client potentiel des entreprises, de se tenir au courant des marchés internationaux et ainsi, des enjeux mondiaux. Il ne faut plus seulement penser qu’un individu achètera des biens de consommation que dans les barrières de son pays, puisque ce serait mentir. En effet, les consommateurs ont maintenant l’accès à des réseaux sociaux qui leur permettent d’obtenir de l’information sur des produits venant de pays étranger au sien. Il a donc la chance de connaître la notoriété et la satisfaction de ceux-ci avant même de l’acheter grâce aux commentaires mis sur internet par d’autres consommateurs. De plus, les réseaux sociaux permettent au consommateur de comparer beaucoup plus facilement les concurrents des entreprises auquel il est intéressé d’acheter.
Les réseaux sociaux sont donc devenus une mode chez les consommateurs, puisqu’ils leur permettent de se tenir au courant des marchés internationaux, de leur fournir des informations sur des produits, etc.
Ainsi, nous croyons que les réseaux sociaux sont positifs pour l’individu en tant que tel, lorsqu’il s’agit de l’informer sur des biens de consommation vendus dans des pays étrangers. Celui-ci pourra donc être informé avec précision avant des achats importants et pourra comparer ses prix et les produits concurrentiels. Bref, les réseaux sociaux sont des outils pour aider le consommateur à trouver le meilleur produit, au meilleur prix, au meilleur endroit, etc.

La tendance aux achats en ligne


De nos jours, la technologie fait de plus en plus partie de nos vies. Nous sommes même rendus à un point où nous magasinons nos achats et nos vêtements sur le web. Les entreprises ont donc vu ici une opportunité face à l’intérêt des consommateurs pour l’accès rapide et efficace du magasinage en ligne. En effet, les consommateurs du 21e siècle désirent trouver ce qu’ils cherchent en un claquement de doigts et peuvent maintenant le faire grâce à un simple « clic » sur le web. Les entreprises du monde entier ont adopté cette tendance remarquant qu’il était très profitable d’offrir ce service d’achat en ligne. Dans cet article, on nous dit également qu’aux États-Unis, 94 % des détaillants vendent leurs produits en ligne. C’est donc devenu un véritable phénomène web. Tout type de commerce peut maintenant utiliser la vente en ligne pour rendre son produit plus accessible.
Nous croyons qu’il est avantageux pour une entreprise d’avoir un service d’achat en ligne puisqu’il permet aux consommateurs, du monde entier, d’avoir accès aux produits, contrairement à la vente dans un commerce seulement. De ce fait, le gestionnaire réalisera beaucoup plus de profit et acquerra une notoriété internationale en choisissant d’offrir l’option d’achat en ligne. De plus, il en coûte beaucoup moins cher pour une entreprise de vendre en ligne que dans un magasin puisqu’elle n’a pas à payer les frais de loyer, d’électricité ainsi que le salaire des employés. (Seulement le Shipping) C’est donc une tendance que tous devraient adopter puisque leurs clients leur en seront reconnaissants.
Source information : http//www.slideshare.net/techsolcom/commerce-lectronique-enjeux-et-tendances-b2cSource photo : http://www.amimeault.com/wp-content/uploads/2010/07/achat-en-ligne.jpg

Les artistes et leur créativité…


Ce vidéo présente Gwen Stefani sous le rôle de créatrice de mode. On nous fait part de l’inspiration des tendances de sa collection L.A.M.B. Le chic des années, les pantalons noir et blanc ainsi que les mannequins tels quels, ont été sa première inspiration. Elle a, par la suite, sous-divisé sa collection en 6 catégories : Soldier girls, Raga girls, Mode girls, Glamour girls, London girls et les Buffalo girls. La beauté de la mode se fait par la façon dont les tissus tombent les uns sur les autres et de l’agencement qu’on fait de ceux-ci.
Si vous connaissez moindrement Gwen Stefani, vous savez que cette artiste, aux talents multiples, aime être connue en étant non conformiste.  Ce vidéo démontre que même dans ça ligne de vêtement L.A.M.B.,  elle aime se différencier des autres designers en ne s’inspirant pas seulement d’un seul élément, mais bien de plusieurs.  Afin d’être connu internationalement, il se doit pour un designer de savoir faire preuve de variété pouvant satisfaire à plus qu’un public cible et société. C’est en effet ce qu’a fait Gwen en s’inspirant de ses mannequins aux cultures différentes tout aussi uniques les unes que les autres. Que ce soit les London girl ou les Buffalo girl, toutes pourront s’identifier à la culture d’un mannequin en particulier. Ce n’est pas pour rien que Gwen a réussi à faire prendre de l’expansion à sa collection à travers le monde, c’est parce qu’elle a su s’adapter aux différents marchés en offrant de la variété!
Selon nous, c’est une bonne chose que les artistes nous fassent part de leurs côtés créatifs comme l’a fait Gwen et ce, encore plus lorsque ça l’implique une inspiration hors frontières. C’est lorsque les artistes sortent de leur frontière et de leur zone de confort qu’ils produisent des collections, chansons, films, etc. à succès.
Croyez-vous que Gwen a fait le bon choix en s’inspirant de cultures pour sa collection L.A.M.B.?


Vogue : Édition spéciale « Mannequins noirs »

Tous les adeptes de mode se doivent de lire les magazines de mode afin d’être à l'affût des dernières tendances. Un des plus populaires magazines au monde se nomme Vogue. Celui-ci est très convoité par les mannequins et les célébrités qui rêvent tous d’y faire la première page. Ce magazine populaire a récemment décidé de faire une édition spéciale en Italie où tous les mannequins et personnes connues interviewés étaient noirs. (Édition Vogue Italia) Le but de l’éditrice était de démontrer la diversité du magazine, et ainsi de viser chaque nationalité afin qu’ils soient tous interpellés par la revue de mode. Ce n’est pas la première fois que Vogue écrit une édition spéciale. En effet, la revue avait déjà fait une édition spéciale où l’on pouvait y voir exclusivement des mannequins asiatiques.
Selon nous, le fait que Vogue Italia inclus des mannequins de nationalités africaines ou asiatiques dans son magazine lui permet de donner une bonne image de l’entreprise. Nous croyons qu’il y a, derrière ce désir d’offrir à la clientèle de la diversité, une stratégie marketing afin d’aller chercher d’autres types de consommateurs et de vendre plus de magazines. Ils veulent démontrer qu’ils sont ouverts aux autres cultures pour que ceux-ci deviennent adeptes de Vogue. C’est tout de même un bon moyen de solliciter les marchés internationaux.  

La mode urbaine et moderne de Barcelone


La ville de Barcelone est reconnue pour son grand sens de la mode. Elle désire, par le fait même, que les visiteurs la reconnaissent ainsi et c’est pourquoi elle a organisé un évènement connu internationalement nommé The Brandery. C’est un salon où on y retrouve tous les styles et les tendances de l’heure. On peut y voir des conférences, des expositions, des défilés et d’autres activités qui sont offertes au plus grand bonheur des visiteurs. Ceux-ci proviennent, entre autres, des quatre coins du monde pour participer à cet évènement qui permet de donner beaucoup de visibilité à Barcelone. De plus, le lieu de cet évènement n’a pas été choisi au hasard, puisque cette ville européenne à la réputation d’être une référence en ce qui à trait au design, à l’architecture et à l’art avant-gardiste. Ce salon a également pour but de positionner la ville en tant que référence en matière de mode et de promouvoir la mode européenne. Toute la ville met la main à la pâte afin que cet évènement soit un succès. De plus, pour que The Brandery soit une réussite, les organisateurs ont dû demander le soutien des exposants et également susciter la participation des acheteurs internationaux. Finalement, il est intéressant de savoir que la moitié des marques présentes au Brandery sont internationales et principalement italiennes et françaises. C’est une opportunité pour l’Espagne de se faire voir du monde entier puisque 20 % des visiteurs proviennent de pays tels que l’Italie, la France, le Portugal et le Royaume-Uni.
Nous trouvons remarquable de voir à quel point il est important pour une ville et sa population de se rassembler afin d’accomplir un évènement qui aura un succès comme celui-là. De plus, nous pensons que le salon Brandery permet aux visiteurs qui y participent de connaître et de s’inspirer des styles qui viennent d’un peu partout sur la planète. Voici donc un bel exemple d’évènement qui permet de réunir des pays étrangers pour une même passion. Pratiquement chaque pays a son propre défilé de mode et essaie de se démarquer afin de se faire connaître en tant que pionnier de la mode. Nous croyons que The Brandery réussi à le faire originalement, en créant des concours et autres activités pour attirer une clientèle étrangère.
Source information : http://www.actu-cci.com/article/3687/Source photo : http://www.corporactiva.com/img/clients/logo-brandery-neg-72dpi.jpg

Le chasseur de tendances à Tokyo

À Tokyo, un homme du nom Loïc Bizel s’est fixé pour objectif de découvrir les dernières tendances mode dans cette ville qui s’avère l’un des trois nouveaux pôles mondiaux de la mode. Le chasseur de tendance peut être fier de faire affaire avec des directeurs d’achat étranger de magasins parisiens qui sont intéressés à découvrir ce qui est en vogue chez les Japonais et qui pourrait bien l’être dans leur pays. Tokyo est une vraie mine d’or en ce qui concerne tous les différents styles à la mode. C'est pourquoi plusieurs grands couturiers internationaux vont dans cette ville du Japon pour trouver leur inspiration pour leur prochaine collection. Ils peuvent également demander aux chasseurs de tendances de faire de belles trouvailles pour eux. Par ailleurs, les femmes japonaises raffolent de la mode et peuvent y dépenser leur salaire entier dans les vêtements haute couture. Elles sont donc une vraie inspiration pour les créateurs. Enfin, si vous faites un arrêt dans les boutiques de Tokyo vous serez pris en charge par des vendeurs attentionnés qui seront au petit soin avec vous. Ne soyez également pas surpris d’y découvrir des décors grandioses afin que votre expérience de magasinage soit des plus belles.
 Nous avons été étonnés de constater que des emplois comme celui de Monsieur Bizel existaient. Le métier de chasseur de tendances doit être très enrichissant et doit également permettre à ceux qui le pratiquent de découvrir la culture de plusieurs pays. Pour une maison de mode importante, un chasseur de tendances doit être d’une grande utilité et doit leur permettre d’être à l’avant-garde de ce qui se fait internationalement du côté de la mode.

Source information : http://japon.aujourdhuilemonde.com/chasseur-de-tendances-tokyo-laboratoire-mondial-de-la-mode
Source photo : http://www.taipeitimes.com/images/2004/02/12/thumbs/20040211174712.jpeg

La chaîne de valeur mondiale de la mode éthique

Le vert est à la mode !


Dans cet article, on peut y découvrir que dans les accords de l’OMC, on y aborde les règlements liés à l’environnement. C’est clauses se sont créés à cause de cette nouvelle tendance écologique. Maintenant, même les pays en voie de développement croissent à un rythme constant grâce aux emplois liés à l’environnement. Encore plus d’activités environnementales sont créées dans chaque pays du monde, c’est donc la preuve qu’une tendance est bien présente. De plus, en Asie par exemple, les autorités sentent beaucoup de pression de la part des consommateurs afin qu’on apporte des améliorations relatives à l’environnement. Les pays sont de plus en plus soucieux de la santé de notre planète et on observe une grande amélioration de la mise en application de stratégies environnementales. Bref, on nous informe que l’environnement favorise l’économie et le développement des différents pays du monde.
Depuis le 21e siècle, nous avons pu observer que les sociétés ont adopté une tendance virée vers l’écologie. En effet, un commerce, une usine ou une famille paraît toujours mieux lorsqu’il est écologique. On projette l’image d’une entreprise ou d’une personne soucieuse de l’environnement et du bien-être de notre belle planète. Malheureusement, certains commerces peuvent utiliser l’écologie comme stratégie marketing. Être une supposée « entreprise verte » leur permet de vendre leurs produits ou services plus cher et d’attirer de nombreuse personne ayant une conscience écologique. Nous pensons que c’est une bonne chose que les entreprises prennent conscience de la santé de notre planète. Celle-ci n’est pas immortelle et c’est avec ces politiques d’environnement que nous allons parvenir à la sauver.
Mais, d’après vous, ces entreprises dites écologiques le sont-elles toutes réellement? Ou suivent-elles plutôt une mode dans le but de faire plus de profit?

Semaine de la mode


 «La semaine des défilés, encore appelée « semaine de la mode » ou « fashion week » par anglicisme, est un événement de l'industrie de la mode, durant approximativement une semaine, et qui a lieu deux fois par an pour permettre aux stylistes et maisons de couture de présenter leurs dernières collections. Parce que la mode de l'année dépend de ces événements, le degré d'attention est très élevé.
Des défilés de mode sont typiquement au centre de cet événement. Les plus importantes « semaines de la mode » sont celles de Paris, New York, Milan et Londres

Cet article défini ce que représente la semaine des défilés à travers le monde. Peu importe le pays, ou plus précisément, la ville où elle sera présentée, cette semaine est un événement important pour le monde de la mode et peut offrir une visibilité à ces grandes villes de la mode. Comme le nom l’explique, cet événement dure environ une semaine et est présenté 2 fois par année. Cette fréquence permet ainsi un meilleur suivi des tendances en présentant les nouveautés des stylistes et des maisons de couture. L’élément principal de ce show est les défilés qui permettent d’afficher les nouvelles tendances. Selon cet article, La semaine des défilés de Paris, New York, Milan et Londres sont celles qui attirent le plus d’attention et ont une grande notoriété. 

Comme le prétend cet article, la semaine de la mode permet à de grandes villes importantes d’acquérir une visibilité internationalement. Celle qui nous touche plus particulièrement est la semaine de la mode de Montréal, qui a eu lieu en février dernier, et qui en est maintenant à sa 20e édition. L’industrie de la mode québécoise a permis de développer son industrie en prouvant par son audace et ses tendances qu’elle a le talent, la créativité et la force pour commercer à l’international. Ainsi, cette semaine a une grande notoriété qui ne cesse de croître puisqu’elle est l’essence qui donne le ton aux tendances de la nouvelle année. Pour cette édition 2011, «une hausse des fréquentations évaluée à plus de 20 % soit 3000 à 4000 spectateurs de plus par rapport aux éditions précédentes» a été démontrée, ce qu’a expliqué Jean-François Daviau, cofondateur de Sensation mode et instigateur de la Semaine de mode de Montréal. Cette augmentation de fréquentation démontre ainsi que non seulement le commerce de la mode québécoise prend de l’expansion au Canada, mais aussi à travers le monde. En effet, plusieurs grands designers et journalistes viennent s’inspirer de nos nouveautés et les diffusent à travers leurs pays. Nous croyons donc pouvoir définir la mode internationale du 21e siècle comme un partage de  créativités, de goûts et d’audace prédominé par les valeurs et la culture des tendances internes de chaque pays.

Pensez-vous que La semaine de la mode de Montréal pourra un jour équivaloir la notoriété de celle de New York ou de Paris ?

Montréal, chef de file mondiale de la mode

Dans cet article, on qualifie la ville de Montréal comme étant un milieu où la mode est ultra progressif. Nos créateurs montréalais, qui s’installent dans d’autres pays, nous donnent une très belle visibilité relative à la mode et nous permettent de montrer notre savoir-faire. Évidemment, en étant plus connue pour nos créations, l’économie de Montréal se porte bien et attire des visiteurs qui désirent voir plus de réalisations québécoises. Par ailleurs, l’UNESCO a désigné Montréal comme étant une ville où le design est un puissant outil d’intégration et de mise en valeur de la diversité ainsi que d’inspiration pour des environnements de vie novateur.  
Il est vrai que si l’on se promène dans les rues de Montréal, on peut y voir des gens habillés avec goût et distinction. La mode y est très présente et possède plusieurs adeptes. Nous sommes également fières de savoir que des créateurs québécois se démarquent sur la scène internationale. En sachant cela,  n’avez-vous pas l’envie d’en apprendre davantage sur leurs collections et d’aller voir de vos propres yeux les confections originales montréalaises?

La mode africaine (Deuxième partie)

Dans cette deuxième partie d’article, on nous fait part de l’origine des couleurs et des motifs utilisés par les créateurs de vêtements africains. Les colons européens ont, dans le passé, imposé aux Africains un style de tenues et une technique bien précise qu’ils devaient utiliser afin de réaliser leurs habits. En effet, il est surprenant d’apprendre que les meilleurs batiks, qui s’avèrent être une technique de teinture de tissu d’origine indonésienne, viennent de Hollande ou de Manchester. Ils ont  de la difficulté à percer le marché de la mode européenne, qui est au courant des tendances africaines, dû à la colonisation. De plus, cet article mentionne que des Français et Européens sont envoyés dans les villes d’Afrique dans le but d'observer et de prendre des photos de leurs créations. Ils volent ainsi les idées des créateurs africains. Par conséquent, les Européens créés leurs propres vêtements de style africain et n’ont donc pas besoin d’importer des produits de l’Afrique.
Nous trouvons très dommage que les Africains n’aient pas la chance de pouvoir exporter leurs créations dans des pays tels que l’Europe. S’il y avait une demande plus importante internationalement pour des créations africaines d’origines, ça permettrait de développer l’économie et la création d’emploi au pays. Nous ne soupçonnions pas que la mode était aussi importante et présente pour les Africains. De plus, il est décourageant de constater que les couturiers africains sont devancés à coup sûr par les couturiers européens. Maintenant que vous connaissez les dessous de la mode africaine, seriez-vous prêts à encourager et payer un peu plus cher pour des couturiers étrangers un peu moins connus, mais totalement originaux?
Source information : http://www.afrik.com/article3207.html (Début: «On reproche peut-être à la mode africaine sont manque de sobriété? » ; fin : « la reconnaissance des créateurs africains ne fait que commencer. »)
Source photo : https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAjo4t_44HIr7EnntI5y10TSED0FlGhpZewgmMQ7Fdo4K4vticqmI-FhVf3S39VaN8-xlGSj0HioDIz0BqxbsLkhI5KrHy6PgR9d-rggg6M8nEfeurK4um_BQEvACBAfyJf8chYFKAuf8p/s1600/vlisco-52.jpg

La mode africaine (Première partie)

En explorant cet article, on y découvre l’importance et la grande présence du monde de la mode en Afrique. Plusieurs créateurs africains redoublent d’effort afin que la mode africaine soit reconnue à travers le monde. Malheureusement, il est très difficile pour eux de le faire, puisque même les Africains ne désirent pas consommer la mode locale. En effet, il préfère faire comme la plupart des autres pays et s’habiller de vêtements européens tels qu’Yves St-Laurent et plusieurs autres. Il devient alors plus ardu pour les artisans africains de donner de la visibilité à leurs collections de vêtements et de convaincre d’autres pays de faire affaire avec eux. De plus, il est question dans cet article, des pays du monde qui ne reconnaissent pas la mode africaine à un niveau international. On ne reconnaît pas la valeur des créations africaines qui est souvent imitée, par ses couleurs criardes et ses motifs originaux, mais jamais égalés.
En lisant cet article, nous nous apercevons que nous ne sommes pas la seule province qui veut défendre ses produits et créateurs locaux, et nous voyons donc que c’est un phénomène international. Les populations sont de plus en plus attirées vers la culture et les tendances des pays voisins ce qui menace, en quelque sorte, la culture, les produits ainsi que l’économie du pays. De plus, ce qui nous a frappés dans cet article, c’est le fait que les Africains aiment mieux porter des vêtements de créateurs étrangers alors que c’est la mode africaine qui leur va le mieux. Ils préfèrent imiter des gens comme les Américains ou les Européens alors que leurs vêtements sont tout aussi magnifiques.


Source information : http://www.afrik.com/article3207.html (Début: «Loin de l’actuelle vogue ethnique […]» ; fin: « […] porter du St-Laurent ou du Pierre Cardin, et pourtant.... ») 
Source photo : http://www.jamati.com/online/wp-content/uploads/2009/03/africa_fashion_week1.jpg

Introduction des créatrices

Bonjour chers blogueurs,

Bienvenue sur notre blogue qui vous informera sur plusieurs actualités du monde de la mode internationale. Nous vous incitons à nous faire part de votre opinion sur nos divers sujets. Tout d'abord, voici un cours résumé de nos deux personnalités.

Je me présente, Caroline Dumoulin, étudiante au Collège Montmorency, en technique de Gestion de Commerce. J'ai en effet choisi le domaine du commerce au détail, car je suis une passionnée du monde des affaires. Ce milieu est rempli de défis et d'obstacles à surmonter lorsque je mettrai les pieds sur le marché du travail. Je serai amenée à tester mes connaissances et mes aptitudes que ce soit pour le marketing, le service à la clientèle, la promotion ou tout simplement la gestion.

Bonjour à vous, je m’appelle Vanessa Cataphard et je suis présentement étudiante en fin de technique de gestion de commerce. Le profil dans lequel j’étudie me passionne puisque j’adore la gestion. Je crois que cet intérêt m’est venu de mes parents qui sont tous deux gestionnaires. Je suis une personne dynamique, entreprenante qui adore le travail d’équipe. J’ai de grands buts dans la vie et un d’entre eux est d’avoir une entreprise à moi et qui commercera à l’international.

Dans le cadre du cours  de commercer dans un contexte de mondialisation, nous avons choisi de vous en apprendre un peu plus sur le monde de la mode international, de ses controverses et de ses actualités. Grâce à notre enseignante, Amélie Raymond, nous serons amenées à devenir des expertes du domaine international, mais plus précisément du milieu de la mode. Ce projet nous permettra de développer des habiletés de gestionnaires internationaux, d'ouvrir nos horizons à de nouvelles cultures et d'avoir les outils nécessaires afin de commercer internationalement.

Nous avons donc opté pour un sujet qui nous passionne, la mode internationale, mais qui peut aussi soulever plusieurs controverses. Nous adorons nous informer sur les tendances, les nouvelles collections, les défilés... mais nous sommes aussi curieuses d'en apprendre sur les mauvais côtés de la mode qui ne sont pas toujours divulgués au grand public.

Les médias font trop souvent l’éloge du monde de la mode, mais ne nous font pas toujours part du côté sombre de celui-ci. Nous avons donc décidé de percer ce mauvais côté, mais aussi de vous tenir à l'affut <<des bons coups de la mode>>. Qu'allons-nous en apprendre sur le sujet? Et bien, nous croyons que nous allons découvrir d'où proviennent les tendances, de quoi sont-elles inspirées, leur origine, le métier de mannequinat, y a t’il une conformité relative à la mode entre les pays, etc.

C'est maintenant à vous de donner votre opinion!
Caroline Dumoulin & Vanessa Cataphard