vendredi 8 avril 2011

Conclusion des créatrices!

En conclusion, nous n’avions jamais vécu l’expérience d’écrire notre propre blogue et cela nous a permis de nous enrichir et d’acquérir de nouvelles connaissances.  Il s’est avéré fort intéressant de pouvoir en apprendre d’avantages sur le commerce international de la mode. Nous avons pu découvrir que la mode ne tournait pas seulement qu’autour du mannequinat et des vêtements, mais pouvait également toucher à l’environnement, les réseaux sociaux, la musique et le cinéma. De plus, nous nous sommes sentis interpellés par quelques côtés sombres et cachés de la mode. En effet, nous avons découvert que derrière les passerelles des défilés se cachaient des jeunes femmes anorexiques et malheureuses dans leur peau. Heureusement, la mode peut aussi être très belle. Des créateurs des quatre coins du monde nous font part de leurs créations et les commercialisent à travers la planète afin que nous aillions la chance de porter des vêtements de différentes origines. Bref, la mode est une manière pour un pays de se faire connaître. En plus, saviez-vous que les pays peuvent s’influencer positivement entre eux?  Il est intéressant de constater qu’une loi adoptée dans un pays le sera pareillement dans un autre. Aussi, nous avons appris que la planification fait partie d’une étape importante de ce projet afin que l’on puisse avancer à un rythme constant lorsque nous faisons face à un travail d’envergure. En effet, sur le plan personnel, nous avons eu quelques complications lors de la publication de nos blogues. Il est donc important de les finaliser bien avant la date limite. Enfin, nous sommes fières de nous être impliquées à cent pour cent dans ce projet et de vous avoir fait part de nos diverses opinions. Nous espérons que vous avez apprécié chacun de nos articles.

Bien à vous,

Caroline & Vanessa

Le côté sombre du mannequinat


«Le 17 avril 2008

 La création d'un nouveau délit est entérinée par une nouvelle loi adoptée mardi. Le délit d’incitation à l'anorexie et à la maigreur excessive" est puni d'une peine d'emprisonnement de 2 ans et d'une amende de 30 000 euro.


L'anorexie touche 30 000 à 40 000 personnes en France. Dans 9 cas sur 10, les malades sont des jeunes femmes. Le taux de mortalité atteint près de 6%, voire même 20% si on se réfère à des études portant sur de plus longues périodes.


La loi relance le débat public autour d'une pathologie grave. Elle vise à responsabiliser les acteurs du monde de la mode, des magazines ou de la publicité. C'est à cette fin que la loi crée un délit "de publicité des moyens de parvenir à une maigreur excessive".


Si cette loi ne règle pas tout, elle pose la question de la responsabilité collective de notre société. C'est au moins son mérite.»


Cet article explique que le gouvernement français a enfin pris position contre l’anorexie en avril 2008 en instaurant une loi décourageant le comportement malsain qu’est l’anorexie. Ce fléau a dénombré plus d’une quarantaine de milliers de cas d’anorexie durant cette année. Malheureusement, la majorité des cas, soit 9 malades sur 10, sont des jeunes femmes. Pire encore, un taux de 6% a été attribué au décès d’anorexique. Mieux ne pas vous dire que le taux a plus que triplé sur des études à long terme. Cette loi vise non seulement les acteurs du monde de la mode, des magazines ou de la publicité Française, mais vise aussi à sensibiliser les pays voisins. Cet article vise donc à faire comprendre autant aux citoyens qu’au dirigeant de la mode qu’ils ont une responsabilité à contrer ce fléau.


La mode internationale a entraîné une propagation de cette maladie qu’est l’anorexie. Non seulement elle touche les mannequins du monde entier, mais les jeunes femmes qui veulent les ressembler aussi. Ce fléau a donc un effet négatif sur le monde de la mode, puisqu’elle entraîne une image négative de ce marché. Heureusement, plusieurs pays se soulèvent contre ce phénomène grandissant de l’anorexie en instaurant des lois, tout comme l’a fait la France. Le Québec a aussi fait partie des premiers pays a dénoncer et contrer ce problème.


Même si cet article date de 2008, nous avons trouvé pertinent de vous faire part de celle-ci. Ce n’est pas parce qu’elle date de quelques années que ce fléau a complètement disparue. Heureusement, beaucoup de pays comme les États-Unis, la France et le Canada se sont alliés pour faire comprendre que l’anorexie et le marché de la mode n’étaient plus synonymes. Nous croyons donc que cette mobilisation est la meilleure chose que ces pays auraient pu faire, puisqu’ils permettent de contrer cette maladie tout en redorant l’image du monde de la mode.

L’anorexie derrière les passerelles


Cette vidéo explique que la mannequin israélienne Bar Refaeli, la compagne de l’acteur Léonardo DiCaprio,  lutte contre le fléau de l’anorexie installé chez les mannequins. Ce combat contre l’anorexie a pour but de contrer ce phénomène installé à travers le monde. Elle se dit attristée de voir des mannequins de 15 ans pâle et tremblante de maigreur. Bref, elle se fait beaucoup de souci pour ses collègues mannequins, elle qui est en santé et aux formes généreuse.

Malheureusement, l’anorexie chez les mannequins n’est plus rare. En effet, la maigreur était et est encore l’objectif tant recherché de plusieurs mannequins qui tentent de percer dans le domaine ou qui sont présentement sur le marché. Plusieurs mannequins croient encore que la maigreur est synonyme de beauté. Encore pire, ce phénomène a su croître mondialement, puisque des mannequins internationales ont fait circuler le phénomène dans plusieurs pays. On peut donc retrouver des mannequins anorexiques provenant de différentes origines.

Nous croyons que cette soi-disant mode ne devrait plus être depuis plusieurs années. Il est atroce de croire que des jeunes adolescentes s’identifient encore à ces mannequins anorexiques et qu’elles veulent leur ressembler. La beauté, c’est une femme avec des courbes et au teint rosé et non un corps inerte squelettique aux couleurs blanches. Selon vous, quelle est la définition de beauté?

La mode cinématographique (Deuxième partie)


Saviez-vous que certains pays, tels que la Chine, ont certains quotas en ce qui a trait à la diffusion de films de pays étrangers. Et oui, la Chine ne permet la diffusion que de 20 films étrangers sur son territoire. Les Chinois aiment les films américains, surtout ceux familiaux et ceux qui semblent refléter la place centrale de la Chine dans le monde. Ainsi, les films acceptés de diffusion par la Chine sont pratiquement sûrs d’une grande notoriété, soit d’une grande audience, puisqu’ils auront réussi à franchir ce quota. Néanmoins, ce n’est pas parce qu’un film américain a un grand succès en Chine qu’il est nécessairement synonyme de grand profit. En effet, les distributeurs hollywoodiens ont seulement 15% comme quote-part des revenus au guichet. C’est très peu contrairement au 45-55% qu’ils ont aux États-Unis. Ainsi, les films américains auront bien sûr une grande notoriété grâce à l’exportation faite en Chine, mais il ne faut pas oublier le fait que le profit n’est peut-être pas aussi important qu’on ne l’aurait cru. La Chine est un pays qui veut protéger sa culture et c’est en installant un quota de diffusion de film étranger avec certains critères qu’elle permet de le faire.

Selon nous, c’est une bonne chose d’installer un quota afin de contrôler la concurrence étrangère, mais surtout pour prioriser la production locale. La Chine a donc bien fait d’installer ce quota, puisqu’elle permet un partage de culture étrangère tout en ayant le contrôle des entrées de films.

Croyez-vous que tous les pays devraient installer un quota de diffusion de films étrangers comme la Chine la fait ?

Source information : La Presse, 5 mars 2011
Source photo :
http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2010-01/2010-01-20/article_avatar_chine.jpg

La mode cinématographique (Première partie)


Dans cet article publié par La Presse, on y fait part du phénomène de la mondialisation de Hollywood. Dans tout phénomène de la mondialisation, il y aura bien sûr des effets positifs tout comme des effets négatifs. Pour ce qui est des phénomènes positifs, plusieurs films américains qui étaient pratiquement en déficit bénéficiaire aux États-Unis ont vu leur recette croître considérablement grâce à leur diffusion ailleurs dans le monde. Ce phénomène positif est entre autres attribuable à l’accueil positif de ces films dans des pays aux cultures étrangères. Ainsi, certains films américains qui sont, dans leur propre pays, presque en déficit deviennent rentables et génèrent d’importants profits grâce à la mondialisation.

De plus, on peut expliquer cet accroissement de notoriété des films américains, dans des pays étrangers, grâce à trois facteurs mentionnés dans l’article, soit : «l’essor du cinéma dans les pays émergents, l’effort concerté des grands studios pour produire des films qui seront bien accueillis à l’étranger et une mise en marché mondial visant à assurer leur succès.» Ainsi, ces effets positifs sont contrôlés par l’industrie cinématographique américaine, puisque c’est au studio de décider s’il veut entrer dans ce phénomène de mondialisation ou non en adaptant ces films au marché d’exportation. C’est au studio de décider s’il veut s’adapter aux marchés étrangers et ainsi, accroître ses recettes grâce à sa diffusion internationale.

Nous croyons que c’est une bonne alternative de penser au marché étranger lorsqu’un film n’a pas eu le succès désiré dans son pays. Néanmoins, il est risqué d’exporter le film puisqu’il pourrait tout aussi bien ne pas avoir de succès ailleurs. Il est donc important de calculer son arrivée sur un marché extérieur avant d’y tenter une entrée.

Source information: La Presse, 5 mars 2011
Source photo :
http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2010/09/D%C3%A9ficit.jpg

La musique face à la mondialisation


«La culture musicale américaine, qui va chercher ses racines dans ses débuts révolutionnaires, a survécu et  prospéré pour même dominer le marché mondial parfois même alors que certains aspects de sa culture étaient montrés du doigt par le reste du monde. Dans un sens, la musique a dépeint une image beaucoup plus juste des événements et émotions des Américains que n’importe quel autre aspect de la culture américaine.»

Comme l’explique cet article, la culture musicale américaine a réussi à prendre de l’ampleur au niveau du marché international. Cette expansion est positive, puisqu’elle a réussi à démontrer avec beaucoup plus de justesse les événements et émotions de ce pays. De plus, la musique américaine a même su prendre la première place en ce qui a trait à sa position sur le marché mondial.

Ce phénomène n’est pas seulement attribuable aux États-Unis, mais bel et bien à travers des pays du monde entier. En effet, un partage de culture musicale a su prendre de l’ampleur depuis plusieurs années. Une mode du partage de musique a su naître et ce phénomène a pris de l’expansion dans de nombreux pays externes, au pays de production d’origine des chansons. Si on prend le Québec en exemple, nous importons et aimons beaucoup de musique étrangère à notre pays. Nous pouvons donc dire que nous sommes une province réceptive au partage de culture musicale.

Selon nous, le partage de culture musicale est une très bonne chose. Elle nous permet une ouverture d’esprit beaucoup plus large sur la culture de pays étrangers et nous ouvre aux talents d’artistes du monde entier. Ainsi, ce phénomène nous permet d’être à l’affut des changements  et tendances du domaine musical et même, de découvrir de nouveau style.

À quel réseau social vous identifiez-vous ?


«Un réseau social est un ensemble d'identités sociales telles que des individus ou encore des organisations reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales
Au départ, les réseaux sociaux se sont principalement développés par la popularité occasionnée par l’utilisation accrue des individus. Néanmoins, ceux-ci ont connus un large accroissement d’utilisation par les entreprises dans la dernière année. Comme l’explique cet article, les réseaux sociaux créent un lien non seulement entre les individus, mais également entre les organisations et les individus. Il n’est plus rare de voir maintenant des entreprises à travers le monde afficher le logo Facebook sur leur site internet pour faciliter l’accès des individus grâce à l’aide de ce réseau sociale. Ainsi, peu importe le pays d’une entreprise, celles-ci peuvent maintenant se faire connaître par des consommateurs à travers le monde. Nous croyons que les entreprises ont bien fait de saisir cette opportunité d’entrer dans les réseaux sociaux, puisque ça leur permet une visibilité hors frontière. De plus, c’est une très bonne façon de promouvoir leurs produits ou leur service à faible coût. Les individus vont sur leurs réseaux sociaux à des fréquences immesurés, c’est donc une belle opportunité pour les entreprises de se faire voir et de tenir au courant leurs consommateurs sur les changements et leurs nouveautés.
Néanmoins, il n’y a pas que des points positifs aux réseaux sociaux pour les entreprises. En effet, ceux-ci permettent aux commerces internationaux de garder des liens avec leurs consommateurs et donc, s’il leur arrive des mauvais coups, ils seront au courant.
Nous croyons donc qu’il est bénéfique pour les entreprises d’entrer dans le mouvement des réseaux sociaux, mais ils doivent être stables avant de le faire. De plus, une personne devrait être à la charge du contrôle des éléments diffusés sur l’entreprise dans ces réseaux. Il est important pour les commerces de garder une bonne image s’ils veulent établir des liens de confiance envers des consommateurs de pays étrangers.